Okay.... Pigé...

Bon, je commence.


Kain était aux aguets. Trois nuits de chasse pour en arriver là. Il n'allait pas tout rater maintenant...
Le cerf qu'il chassait était à une volée de flèche de là. A un saut de Syk, donc. Il banda ses muscles.
Rien ne pouvait arrêter un Syk quand il avait vraiment faim. Kain bondit. Mais, la vie n'étant pas toujours facile, le cerf décida d'aller faire un tour à quelques mètres plus loin, histoire de voire si il n'y avait pas quelques feuilles a brouter de ce coté-ci. Kain, en l'air, ne pouvait dévier sa course. Il ne put articuler que un "hein ?" vraiment pitoyable avant de s'écraser par terre, la tête en avant. Il se releva, la tête endolorie. Mais, comme tout le monde le sait, un malheur n'arrive jamais seul. Le cerf était partit, sans laisser de traces. C'est lors que quelque chose de lourd et de dure lui tomba sur la tête. La, le jeune Syk ne put absolument rien articuler avant de s'évanouir.

--C'est tous les jours pareil. Chaque fois que je vois Kain, il se fait buter/massacer ou il est dans une situation ou la mort est favorable. <.<--

Bart se cramponna la tête, ses yeux rouges s'ouvrant peu à peu. Il regarda autour de lui. Puis il vit Kain.
"Ah, je savais bien qu'il y avait un caillou ou quelque chose sous moi pendant que je sautais."
Il s'accroupit vers Kain, mettant une main sur le front de l'être inquiétant. Bon... Complètement sonné. J'vais l'réveiller un peu...
Bart prit sa main, et le posa sur le front de Kain. Un. Deux - Trois! Avec une impulsion de magie, Bart fit virevolter des étincelles dans l'air, certaines entrant dans le front de l'inconscient.

Kain sentit la décharge d'énergie ayant l'équivalent d'environ 500 volts passer. C'était des choses qui n'arrivait apparement qu'à lui, notez... Il se réveilla donc, en sursaut, pour s'apercevoir qu'un être aux yeux rouges se tenait devant lui... Le jeune Syk opta directement pour le tutoiement. 'Hé, ho, ça va pas ? Tu peux me réveiller autrement, plus en douceur, tu sais, ou même pas me réveiller du tout !' Et il partit pour un déluge qui lui était habituel ponctué de 'biiip' et de 'biiip' que je ne citerait pas.